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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 10:53

 

Dictionnaire participatif
Parlez-vous le françois-hollandais ?
Parlez-vous le françois-hollandais ?
Publié le vendredi 26 juillet à 14h46 - Mis à jour le mercredi 31 juillet à 19h59
Par Nicolas Beytout, Directeur de la rédaction

A la suite de notre éditorial titré « Les mots pour ne pas le dire », L’Opinion vous propose de poursuivre l’exercice en publiant vos propres définitions du parler Hollandais (il s’agit de François, bien entendu). Humour et justesse bienvenus.

A force de jongler avec les mots dans le seul but de nier la réalité économique et budgétaire, le gouvernement et la majorité ont fini par créer un petit dictionnaire à usage de qui veut cacher la vérité. Extraits.

Sérieux : mot passe-partout, signifie austérité, rigueur (termes dangereux en politique). Employé souvent en matière budgétaire pour éviter d’affronter la réalité.

MAP : équivalent socialiste de la RGPP sarkozyste. La Modernisation de l’Action Publique est une réduction forcément intelligente des budgets ministériels, là où la RGPP était mécanique et donc stupide.

Déficits : généralement employé au pluriel : « il faut réduire les déficits ». Objectif souvent proclamé, jamais atteint.

Impôts : trait d’humour du président de la République, amateur de blagues : « il n’y aura plus d’augmentation des impôts » (voir aussi « Ecologie »).

Fonctionnaires : population sacrée dont le nombre total doit coûte que coûte être maintenu. Synonyme de réservoir électoral.

Chômage : cancer qui sera guéri à la fin de l’année. Se traduit souvent par subventions ou emplois aidés.

Ecologie : mot fourre-tout, très commode pour constituer des majorités parlementaires. Notion souvent utilisée au second degré : la France sera « la Nation de l’excellence environnementale », selon François Hollande (voir aussi Impôts et Humour).

Ministre solidaire : concept dépassé. Parfois remplacé par le moderne « militant ». Delphine Batho : « mon budget est mauvais ; je réagis en militant ». Permet de tester les limites de l’humour présidentiel.

A vous de compléter…

 
Vous aussi, publiez votre définition
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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 15:46

Substituer un pronom "neutre" aux pronoms "il" ou "elle" qui nous enferment dans une stupide identité sexuelle, voilà la solution! C'est ce qui est préconisé en Suède, ce pays qui nous précède dans les allées d'un avenir prometteur.. A découvrir, dans Slate.fr :

Hen: le nouveau pronom neutre qui fait polémique en Suède
La Suède tente de se débarrasser de ses «il» et «elle»...

Source

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 14:20

       

Yves Daoudal redonne la définition du mariage du très sérieux dictionnaire de l'Académie française :

MARIAGE n. m. XIIe siècle. Dérivé de marier .
1. Union légitime d'un homme et d'une femme, formée par l'échange des consentements que recueille publiquement le représentant de l'autorité civile. Mariage civil. L'institution du mariage. Désigne aussi le sacrement qui lie un homme et une femme s'unissant par l'échange des consentements au cours d'une cérémonie religieuse. Mariage religieux.

Yves Daoudal en profite également pour citer le catéchisme de l'Eglise catholique :

2357 L’homosexualité désigne les relations entre des hommes ou des femmes qui éprouvent une attirance sexuelle, exclusive ou prédominante, envers des personnes du même sexe. Elle revêt des formes très variables à travers les siècles et les cultures. Sa genèse psychique reste largement inexpliquée. S’appuyant sur la Sainte Écriture, qui les présente comme des dépravations graves (cf. Gn 19, 1-29 ; Rm 1, 24-27 ; 1 Co 6, 10 ; 1 Tm 1, 10), la Tradition a toujours déclaré que " les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés " (CDF, décl. " Persona humana " 8). Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas.

A quand des autodafés organisés par Manuel Valls place de la Bastille ?

18 May 2013 sur le salon beige

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 15:47

 


On remercie un employé
quand on n'est pas content de ses services . . .

On passe bien souvent des nuits blanches
quand on a des idées noires. . .

Pourquoi d'un pauvre malheureux ruiné, qui n'a plus d'endroit où se coucher,
on dit qu'il est dans de beaux draps ?

Pourquoi dit-on : embarras de voitures, quand il y a trop de voitures,
et embarras d'argent, quand il n'y a pas assez d'argent ?

Pourquoi quand une personne se meurt, on dit qu'elle s'éteint.
et quand elle est morte, on l'appelle «feu»?

Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est ronde ?

Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?

Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi, faut-il en mettre de côté ?


Pourquoi avons-nous parfois l'estomac dans les talons
ou le compas dans l'oeil ? 

On en perd son latin :-)

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 20:56

 

Le mariage selon Larousse

La définition du Larousse sera amendée dans l’édition 2014 du dictionnaire (publiée en juin 2013).

- La définition actuelle : « mariage : l'acte solennel par lequel un homme et une femme établissent entre eux une union dont les conditions, les effets et la dissolution sont régis par les dispositions juridiques en vigueur dans leur pays (…) »

- La nouvelle définition : « mariage : acte solennel par lequel deux personnes de sexe différent, ou de même sexe, établissent entre eux une union »

La définition proposée sur le site : « mariage : acte solennel par lequel un homme et une femme (ou, dans certains pays, deux personnes de même sexe) établissent entre eux une union (…) »

Le mariage selon Le Petit Robert

La définition du mariage présentée par Le Petit Robert est plutôt neutre : « mariage : union légitime de deux personnes dans les conditions prévues par la loi ». L’éditeur explique à l’AFP qu’elle pourrait évoluée une fois la loi votée.

L’Académie française n’est pas pressée

Selon la définition de l’Académie française, le mariage est « l’union légitime d'un homme et d'une femme formée par l'échange des consentements que recueille publiquement le représentant de l'autorité civile ».

Bien qu’elle soit en décalage avec l’idée du mariage véhiculé par le projet de loi, cette définition pourrait rester inchangée pendant plusieurs années. « L'Académie ne juge pas sur le fond, elle consacre un usage », explique à l’AFP Mathieu Pasqualini, directeur de cabinet du secrétaire perpétuel de l'institution.

 

Lu sur réponseatout.com

Réponse conforme bien sûr.

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 10:43

 

Des impôts pour les adeptes du gender

Dans les nouveautés de la déclaration d'impôts sur le revenu, on note celle-ci :

"Suppression des mentions "vous" et "votre conjoint", qui deviennent "déclarant 1" et "déclarant 2".

vu ici

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 10:15

 

Avec deux mots identiques, on fait deux choses différentes, c'est notre côté économique....
 
Facile à comprendre pourquoi certains enfants du primaire (et même du secondaire) font des erreurs... surtout s'ils ne comprennent pas trop le texte écrit! Il faut beaucoup de concentration! Il faut être ferré en français, pas vrai?  
  
Voici une petite chronique sur notre langue française. Personne ne pousse l'illogisme aussi loin que nous : c'est presque de la démence!
Voici les phrases, pourtant bien « françaises » :

— Nous portions nos portions. 
  
— Les poules du couvent couvent. 
 

— Mes
 fils ont cassé mes fils. 

— Il
 est de l'est. 

— Je
 vis ces vis. 
 

— Cet homme est
 fier; peut-on s'y fier?
— Nous éditions de belles éditions.
 

— Nous relations ces intéressantes relations.


— Je suis content qu'ils nous content cette histoire.

— Il convient qu'ils convient leurs amis.
 
— Ils ont un caractère violent et ils violent leurs promesses.
 
— Ces dames se parent de fleurs pour leurs parents.

— Ils expédient leurs lettres; c'est un bon expédient.

— Nos intentions c'est que nous intentions un procès.
 
— Ils négligent leur devoir; moi, je suis moins négligent.
 
— Nous objections beaucoup de choses à vos objections.

— Ils résident à Paris chez le résident d'une ambassade étrangère.
 
— Ces cuisiniers excellent à composer cet excellent plat.

— Les poissons affluent d'un affluent de la rivière.

 etc., etc.,....
 
 
Il y a, en effet, de quoi perdre la tête! Vous rendez-vous compte combien notre langue est difficile à apprendre par les étrangers, mais aussi par nos propres enfants et petits-enfants!!!.
 

On y perd son…. latin!!

lu ICI

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 11:51

 

Ne dites plus jamais « homophobie », dit l'Associated Press

 

Voilà une information qui nous avait échappé, et elle est de taille : le Style Book de l’agence américaine Associated Press, « bible » d’expression pour ses journalistes qui fait autorité dans la profession tout entière aux Etats-Unis, a banni l’utilisation du terme « homophobie », fin novembre.

Le journaliste américain Dylan Byers précise : « Le Style Book affirme désormais que le suffixe “phobie”, une peur irrationnelle et incontrôlable, souvent une forme de maladie mentale, ne doit pas être utilisé “dans des contextes politiques ou sociaux”, y compris (les termes) “homophobie” et “islamophobie”. »
Voilà qui est intéressant, d’autant qu’un porte-parole de l’AP a précisé :
« L’homophobie surtout – le mot est tout simplement hors sujet. Cela consiste à attribuer une incapacité mentale à une personne, et suggère une certitude que nous n’avons pas. Le terme semble inexact. A sa place, nous devrions utiliser quelque chose de plus neutre : anti-gay, ou quelque chose du genre, si nous avions des raisons de croire que tel était le cas. »
Cela restreint considérablement le champ de la dénonciation, puisque « anti-gay » désigne la désapprobation d’un style de vie revendiqué, la critique d’un comportement. Et l’homophobie, dans cette acception, n’a plus rien à voir avec un jugement moral sur une tendance désordonnée puisqu’elle désigne la haine à l’égard des personnes : une haine maladive, psychiatrique.
Aujourd’hui, en France, « l’homophobie » est un délit. En accuser son prochain conduit celui-ci droit vers les tribunaux. Mais c’est un délit d’opinion. Et un concept utilisé pour émasculer le combat contre les aberrantes revendications du lobby gay.
Sans surprise, celui-ci a été fort marri de cette clarification…
Jeanne Smits,22/02/13 sur son blog 
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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 00:03

 

la suite de "parler pour ne rien dire"

 

 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 23:42

Un concept maintenant ancien , mais qui a des successeurs ...

"Un bataillon d'agents de développement du patrimoine ouvre la marche, suivi presque aussitôt par un peloton d'accompagnateurs de détenus. Puis arrivent, en rangs serrés, des compagnies d'agents de gestion locative, d'agents polyvalents, d'agents d'ambiance, d'adjoints de sécurité, de coordinateurs petite enfance, d'agents d'entretien des espaces naturels, d'agents de médiation, d'aides-éducateurs en temps périscolaire, d'agents d'accueil des victimes et j'en passe. [...] Il s'agit du rassemblement imaginaire de tous les nouveaux "emplois jeunes" de Martine Aubry, [...] une sorte de Halloween à l'échelle nationale, une Love Parade en plein Paris, une Job Pride, pourquoi pas ?" 

Phiippe Muray

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